[RP] 2021, ombres et Meccas.

Keneda entendut les bruits d'une conversation. Il tendit l'oreille pour écouter. Son appareille sonna, un Yakuza appelait un de ses amis à 150m au alentour.

Le véhicule démare tu peux te mettre à leur poursuite, garde la distance il ne faut pas que les occupant du véhicule et un doute sur l'identitéde leur "sauveur".

Keneda sortit de sa cachette et courut jusqu'au garage derriére le parc où il prit sa moto. Il commençat alors lui aussi à se lancer à la poursuite du corbillard

[Post PNJs Yakuza]

Abe démarra sa berline noire au vitres teintées sur les ordres de son chef. Il recevait la position de la voiture suivie grace a son ordinateur de bord. Il prit donc des rues parralleles pendant un certain temps jusqu'a ce que les deux voitures s'engoufrent sur un grand axe périphérique. Abe parla a son téléphone main libre.

- Je les vois. L'imatriculation est ancienne et plus vraiment au normes mais on devrait retrouver le propriétaire. Je vous l'envoie à l'instant.

La berline suivait le corbillard depuis un certain temps, ce qui n'échapa pas aux jeunes assis a l'arriere.

Le téléphone répondit

- Heureusement que les archives de la police ne sont plus vidées depuis quelques années. Le véhicule a été volé il y a 5 ans lors de l'enterrement de Murasaki Daisuke. L'homme en question a été victime d'un accident d'hélicoptere, il était alors chirurgien et avait été dépéché sur place lors des attentats d'Osaka en 2015. Il est resté plusieurs mois dans le coma et hémiplégique. On l'a finalement débranché en 2016. Toutes ces informations sont contenues dans son dossier médico-professionel.

- D'accord je veux bien, répondit Abe, Mais pourquoi me parles-tu de lui s'il est décédé?

- Parce que selon les images du réseau de surveillance routier, c'est bien Murasaki Daisuke qui est au volant du corbillard.

Arlslim par son apparaille: "Le transmetteur" entendit toute la conversation et se souvain alors:

Nous survolons actuellemant Osaka enfin se qu'il en reste intervien le journaliste.

La ville est détruite à 70 % le nombre de mort représente 3% de la population de japon. Olalahh Je ne peux vous décrire le spectacle tellement il est ignoble.

Dans refugiers pagniqués agrésse les unités de soin qui tente de repartir pour ne pas être victime de la foule.

Nous venons à l'instant d'apprendre que les Yakuzas seraient les résponssables de se massacre car la ville ne leur à pas payer de taxes.

Arlslim revient à la réalitée en manquant de rentrer dans un camion.

Ils payerons aussi pour çà... Bande d'...pensat-il.

Shin'itchi, assit aux cotés de Keisuke, enleva sa veste et sa chemise, révélant sa prothèse robotisée avec son T-shirt sans manches : son bras entier, des doigts à l'épaule, était une réalisation très complexe de biomécanique, recouverte de plaques de polymères créant un design étrange et gravés de fines volutes et motifs floraux. Celle-ci s'articulait sur son torse, mais celui-ci était aussi en partie robotique, jusqu'au sternum, où il se soudait par endroits à l'os, apparement. Une partie de son cou était parcouru par des cables et des puces dont certaines luisantes de lueurs blanches bleutées. Enfin, dans son dos, les connections neuromécaniques étaient directement liées à sa colone.

Voilà ce qu'il espérait que Kei n'aie pas à vivre : la douleur de la connection, les souffrances de la rééducation, le poids constant de cette masse de métaux, la distension des muscles qui doivent le soutenir, les entretiens répétitifs, le danger que cela représentait ...

Keisuke sentit qu'on le déplaçait mais il garda les yeux fermés. Il commençait à reprendre ses esprits et entendit une partie de la conversation se déroulant au dessus de lui. Asisté par des machines hein?

Kei repensa à sa famille... enfin surtout à son père. Celui-ci avait placé tant d'espoirs en lui. Il devait prendre la tête du clan Kurita le jour de ses 20 ans soit dans une semaine très exactement.
Ca faisait pratiquement un mois qu'il évitait toutes sortes de tentatives de meutre ou d'accidents plus ou moins provoqué grace à la protection de Jiro, son meilleur ami et acccessoirement grade du corps. Mais celui-ci était dans le coma depuis deux jours après l'avoir sauvé in-extremis d'un énième "accident".

Il devait s'en sortir! Pour son père, pour Jiro, pour l'honneur de clan Kurita, le plus grand clan de Yakusa de toute l'histoire du Japon.

"Keisuke, t'as intérêt à tenir le coup !" était la phrase que Shin'itchi ressassait.

Il se tourna vers l'habitacle : " Arrive-t-on bientôt, Monsieur ?!! Il faudait pouvoir s'occuper de Kei au plus vite !!"

- Excuse moi, c'est pas moi qui fait la circulation. Mais oui on a plus pour longtemps.

Daisuke conduisait a grande vitesse. Il doublait, klaxonnait et avait remarqué une berline qui le suivait dans ses extravagance...

"Des Yak... 'manquait vraiment plus que ça" pensa-t-il. Bon. il s'agissait de ruser.

Daisuke s'engagea au dernier moment dans une ruelle qui menait non loin de son habitat. Le mot maison, ou appartement n'était pas approprié. Les suspensions améliorées du corbillard permirent aux passagers de ne pas trop pâtir du choc. Les Yakuza le suivaient toujours. Il décida de ne rien dire aux jeunes s'ils n'avaient rien vu.
Comme il s'en rappelait, la ruelle traversait un boulevard. Il observa tres rapidement les véhicules à l'arrêt sur la voie perpendiculaire et se décida. Le feu était encore vert, Daisuke tenta la chance. Il accéléra à fond, et à l'arrière on pouvait entendre le sifflement du turbo-moteur. Il traversait le boulevard tandis-que les Yakuza, pour avoir hésité à accélérer, peu-être trop raisonnables, furent aveuglés par le passage d'un enorme et lent semi-remorque.
Pendant ce court interstice Daisuke s'engagea dans la ruelle avant de tourner dans un autre coupe-gorge perpendiculaire. Il fesait tres sombre et Daisuke éteignit les phares. Et vit dans son rétroviseur la berline passer a toute allure sans les voir.

- Ahahaha... Je suis vraiment bon... Hum

Daisuke se racla la gorge et ralluma les moteurs. Dans cette petite ruelle, ce coupe gorge, se trouvait un entrepot. De l'extérieur, on ne pouvait pas soupçonner la présence d'un si grand espace.
Daisuke se saisit d'un télécommande, et appuyant sur un bouton, découvrit et ouvrit la porte du hangar, avant d'y engouffrer le corbillard. L'intérieur était aménagé comme un grand loft et la partie habitable semblait suspendue au plafond par d'énormes pilonnes. On y accédait par un escalier apparent en colimaçon. Le corbillard arrivait directement devant ce qui était entre l'établi et la chambre d'hôpital. L'hygiene pouvait manquer malgrès l'air étonement pur qui régnait dans l'endroit, grâce a une ventilation hors norme.
Visiblement Daisuke avait les moyens, et il avait les moyens. Mais il faudrait un chapitre pour l'expliquer.
Des rideaux d'hopital entouraient la micro-sale d'operation-établi. Daisuke sorti de la voiture et interpela les jeunes.

- Faites sortir votre ami, je vais me preparer. Le brancard déscend automatiquement de la voiture grace au levier qui vous voyez pres des portes arrieres. Ammenez directement en sale d'operation pendant que je prends des précaution d'hygiene. Allez dépechez!

Keneda dans le plus grand mal avait réussi à suivre le corbillard jusqu'à une petite rue où il le perdit. Il allait renoncer quand il vit un entrepôt d'apparence désaffecté.

Keneda décida donc de se présenter en allié (se qu'il était) pour pouvoir enfin espérer avoir des alliés dans sa lute ou plutôt vengeance contre les Yakuzas.

Il gara sa moto dans la rue entre deux poubelles, frappa à la porte et dit suffisamment fort pour se faire entendre de l'intérieur :

Je vient en allié ouvrer moi s'il vous plaît... Il marqua un temps d'arrêt afin de reprendre son souffle et attendre un quelconque mouvement derrière la porte avançant une réponse.

Mais rein ne se passa, aucun mouvement, aucun son audible de l'extérieur.

Bon ouvraient et vite!
ils vont revenir sa va pas tarder, et là on sera tous dans la merde !

- P**ain... En fait quand j'ai dit qu'il manquait plus que les Yaks, J'me suis trompé... Visiblement. Bon je vais m'occuper de lui les jeunes, restez là et faites sortir votre ami comme on a dit.

Daisuke se dirigea vers une petite porte incorporée dans la grande porte. Il sortit et vit sur sa droite un autre jeune nippon. Qui s'époumonait.

- Ecoute moi toi, ici y'a rien à voir... Barre toi maintenant. Je sais pas ce que tu cherches mais ici c'est un site désaffecté et t'as aucune raison d'y être.

Il ésperait que Keneda s'en aille en vitesse, car si les Yaks repassaient la premiere chose qu'ils verraient ce serait lui en train de discuter devant un entrepot. Peut importait s'il savait quelque chose a propos des Yakuza. Pour l'instant il valait mieux que Daisuke ne se mèle de rien. De plus ce mec pouvait tres bien être également un Yakuza, ou avoir un micro sur lui.

- Tu m'as pas bien entendu? Du vent casse toi en vitesse.

Tais toi ! Keneda tendît l'oreille, et entendit une voiture.
Il rentra alors dans le bâtiment et fermât la porte.

Avant que la personne face à lui ne puis dire quoique se soit, il prit la parole :

Vous êtes rechercher par les Yakuzas;
Avant toute chose dit aux gars de faire moins de bruit, on peut encore entendre une voiture tourner dans le coin.

Je vais vous raconter mon histoire, cela prend 5 min.

Keneda raconta donc son histoir, pourquoi il en voulait au Yakuza, depuis combien de temps il les poursuivait ...

Shin'itchi sortit du véhicule, puis se débrouilla pour sortir Keisuke avec l'aide du levier dont avait parlé Daisuke, en demandant aussi l'aide à Tanaka.

Les coups frappés à la porte de l'entrepôt le firent sursauter. Voyant Daisuke s'en occuper, il se réinterressa à la descente de Kei, mais garda une attention aux propos échangés à travers la porte.

- Des Yakusas ? c'est quoi ce bordel ? demanda-t-il à haute voix, s'adressant de toute évidence autant à Tanaka qu'à Keisuke.

Au moment où un homme entra de force, il s'enflamma : il bondit de la voiture, et, de son bras bionique, plaqua avec force l'inconnu sur le sol.

- Déballe ton histoire en vitesse en effet, je ne suis pas d'humeur à patienter. dit il entre ses dents sérrés.

Il espérait ne pas lui avoir fait trop peur pour autant, mais au moins qu'il aurait compris l'avertissement. L'homme en question raconta en ffet son histoire, et au fur et à mesure, shin'itchi dessera son étreinte, finissant par le lacher quand il eut fini.

Il s'était réveillé cette après midi avec un sacré mal de crane. Il avait voulu rejoindre Keisuke mais un médecin l'en disuida, lui commandant de rester au lit. Il avait donc passé plusieurs heures allongé à grogner et à passer sa mauvaise humeur sur toutes les personnes passant à sa porté.

Puis vers 17h Akito Kurita était arrivé, il avait laissé un message sur le portable de son fils pour le prévenir du réveil de son ami et celui-ci ne devrai plus tarder.

Il était 19h quand Jiro décida qu'il avait suffisament attendu, si Kei n'était pas là c'est qu'il lui était arrivé quelque chose, et c'est le ventre noué d'appréhension et de douleur qu'il quitta l'hôpital.

Il avait trouvé une moto qui ne semblait attendre que lui à quelques rues du bâtiment médical et à présent il fillait à toute allure vers le point rouge clignotant qui s'affichait sur son perso.

Jiro traverssa la moitié de la ville à toute allure, il entrait sur un boulevar de l'ancienne zone industrielle quand le signal disparu. L'homme à la cicatrice fronça les sourcils et se dirigea vers lea dernière position enregistrée en slalomant entre les voitures. Il tourna à gauche et arriva dans une petite rue. Le signal gps relié au perso de Kei avait arrèté d'émettre à deux rues de là, il continuerait à pieds.

En posant pied à terre, l'homme chancela, le vent et l'adrénaline l'avait aidé à oublier sa douleur mais l'immobilité réveilla en lui une violente nausée qu'il eu toute les peines du monde à réfréner.

C'est en s'appuyant d'une main au mur qu'il progressa vers les coordonnées enregistrées dans son perso.
Jiro arriva environ dix minutes plus tard devant ce qui semblait être un vieil entrepot de l'armée. Il s'approcha en chancelant de la grande porte faisant attention à restée dans les zones d'ombres, et inspecta rapidement l'ouverture et vu la couche de rouille et de peinture craquelée, ce n'était certainement pas là qu'était son protègé.

D'un geste rageur il fit demi-tour et tomba à genoux, l'activité et sa rage réfrénées avait eu raison de sa blessure, il retira sa main de son ventre et constata avec colère la réouverture de sa plaie, c'était vraiment pas le moment!
Jiro repartit en sens inverse et s'ssit dos au mur avant de sortir son perso et de composer le numéro de Keisuke espérant que celui-ci lui répondrait ...

Daisuke se rendit compte qu'en fait il n'avait pas qu'il ne manquait plus que les Yakuza... Il l'avait seulement pensé et n'en avait pas averti les jeunes. Il dit alors a l'attention de tous.

- Ouais, ouais des Yakuza ouais... En effet je suis suivi par des Yakuza... Et vous voulez savoir pourquoi? Parce que vous avez un enfoiré de chirurgien mort en face de vous. Voila on va pas aller plus loin dans les présentations.

Puis il fit signe a Shin ichi de se pousser avant de pointer Keneda de doigt pour lui adresser ces paroles amoureuses.

- Et toi le rigolo si tu crois m'apprendre quelque chose tu te plantes, crois moi je sais que les Yak en ont après moi, sinon je serais pas téré dans un p****n de hangar desafecté. Maintenant tu sais ce qu'on va faire? Tu vas rester ici tranquilement et pas dire un seul mot, j'ai pas demandé à être assisté, et j'ai pas besoin pour l'instant de me soucier de ton histoire... Surtout pas par un guignol qui vient à ma rescousse pour me rapeller que je suis suivi par les Yak. Ils me trouverons pas ici pour la bonne raison qu'il y a pas plus perdu et plus isolé sous le béton.


Daisuke retrouva son calme et ajusta son col avant de dire pour tout le monde.

- Veuillez excuser cet acces d'enervement, cela ne se reproduira plus, amenez votre ami à la sale d'operation la-bas pendant que je vais accompagner monsieur le sauveur puis me préparer à operer...

C'est alors que le portable de Keisuke sonna.

- QUOI ENCORE ?! ... Bon quelqu'un qui connait bien Keisuke, répondez à son téléphone... Et ne me dérangez plus.

Il s'empara du bras de Keneda en lui faisant une clé dans le dos et l'invita à le suivre, ou plutôt à le précéder.

Shin'itchi ne comprenait plus . Des Yakuzas ? Mais pourquoi ? Pour qui ? Qui était en fait Daisuke ? Pourquoi Semblait-il que tout s'écroulait maintenant ?

Il alla saisir le portable de Kei, s'assit contre la voiture, et décrocha.

- Allo ?

Il ne s'aperçut pas qu'il avait, avec sa main "normale", saisi celle de Kei, qu'il serrait inconsciemment.

Une sonerie, deux sonerie et enfin "Allo".
La première chose qui frappa Jiro: ce n'était pas Keisuke qui venait de décrocher. Il dû se retenir de ne pas hurler et menacer son interlocuteur, mais si celui-ci tenait la vie de son ami entre ses mains comme il le pensait, cela ne ferai que mettre Keisuke encore plus en danger.

C'est donc d'un ton calme où pointait tout de même sa rage de ne pouvoir rien faire pour aider son ami qu'il répondit:

"Est ce que Keisuke est là? J'aimerai lui parler."

Jiro tentait d'analyser la situation, mais avec sa blessure et la peur qui commenssait à faire son chemin il n'était sûr que d'une chose: j'amais il ne pourrait sortir Keisuke de là sans aide.

Shin'itchi réponsi calmement : "Navré, Kei n'est pas disponible pour l'instant. Donnez moi le message que vous voulez lui faire passer, je le lui donnrais dès qu'il pourra vous rappeller."

le ton était très loin d'être agressif, la voix calme, le message tranquille, et le fait d'avoir appellé Keisuke "Kei" avait de quoi mettre en confiance.
Parfait si c'était les Yakuzas.

Jiro fronça les sourcils, la personne qui venait de répondre avait une voix assez jeune comparé à ce à quoi il s'attendait, mais le ton calme prouvait qu'il se méfiait, mais le jeune homme avait dit "Kei"... serait-ce un ami à lui? Mais dans ce cas pourquoi être venus ici? Ce n'était pas le genre de Keisuke de trainer tard, surtout dans ce genre d'endroit et surtout en ce moment alors que sa vie était en danger à chaque tournant de rue.

Jiro réfléchit à ce qu'il pourrai dire avant de répondre, ce faire passer pour un ami, ce qu'il était après tout? Rester froid et continuer à le faire parler?

Oui le deuxième solution lui semblait la meilleure.

"C'est que j'aimerai vraiment lui parler, c'est important. Vous savez, les histoires de famille... Il ne peut vraiment pas répondre?"

Jiro avait prit la voix la plus gènée dont il était capable, se trouvant absolument ridicule: lui, grosse brute d'1M96, prendre une voix de gamin pris en faute. Mais il fallait absolument qu'il obtienne des renseignements sur l'état de Keisuke.
Il doutait de plus en plus que se soit un Yakusa enemis qui ai répondu à son appel, mais on n'était jamais assez prudent et là il s'agissait de la vie de l'héritier Kurita...

Sans doute un ami de Keisuke ... Shin'itchi décida de jouer la carte de la demi-vérité ...

- Vous êtes sans doute à même de l'aider : Il a eu un accident avec une voiture il y a peu ... il y a des chances pour qu'il reste paralysé. Prévenez sa famille et rejoignez-nous à l'hopital, nous pourront en discuter.

Le ton grave que Shi'itchi avait pris le surpris : il l'avait fait par inadvertance, comme si il était réellemen désolé. En fait, il l'était réellement.

Keneda commença à s'impatienter pendant que Shin'itchi parler au téléphone. Il se retourna vers le conducteur du corbillard, Daisuke et dit sur un aire boudeur ( toujours pas remis de s'être fait engueuler ):

Bon on fait quoi ?!
On reste là à regarder "Un fils de yak" crever ou alors on le remet entre les mains des autorités qui elles ( au moins) sont compétente

[hrp : je doute que tu sois sencé révéler que Kei est un fils de yakuza... pour l'instant de toute façon ce n'est pas le probleme de Daisuke.]

Daisuke qui tenait encore Keneda par le bras dans une position tres douloureuse pour celui-ci - je le rapelle -, S'engouffra dans une petite pièce. Une fois a l'interieur et sans lacher l'autre il enfila d'un bras sa blouse blanche, mis un masque, un bonnet de chirurgien, s'empara d'une malette.
Il répondit enfin a Keneda.

- Toi tu ne fais rien, tu restes ici et tu ne dis pas un mot, je ne t'ai pas invité chez moi, tu es entré par effraction. Je t'enferme ici et je te déconseille de protester. Moi je vais mettre toutes mes compétences a profit pour sauver le jeune.

Daisuke enferma Keneda a double tours et revint dans la sale d'operation ou les autres avaient déjà installé Kei. Il posa la malette sur une table et s'adressa a l'assemblée, Alors que Shin ichi était encore au téléphone.

- Nous allons, enfin, je vais operer. Il faut que Kei soit sur le ventre je vais donc vous aider a le positionner correctement, la tête dans le trou oval que vous voyez a l'avant de la table d'opération.

Il se pencha vers Keisuke, qui était inconscient, et maintenant bardé d'éléctrodes.

- Quelque chose à dire Kei? Non rien évidement.

Les jeunes l'aidèrent a retourner Keisuke et Daisuke leur demanda finalement.

- Une chose a dire avant que je commence?

Citation :

Vous êtes sans doute à même de l'aider : Il a eu un accident avec une voiture il y a peu ... il y a des chances pour qu'il reste paralysé. Prévenez sa famille et rejoignez-nous à l'hopital, nous pourront en discuter.

Jiro fronça les sourcils, Keisuke était ... blessé? Et si il était bien à l'hopital comme le sous entendait son interlocuteur, comment se faisait-il que le signal l'ai amener dans ce quartier?

La douleur commençait à lui monter à la tête et faisait poindre une migraine, il avait de plus en plus de mal à assimiler ce qu'il entendait, tout ce qu'il savait c'était que SON protégé était blessé et certainement pas à l'hôpital.

Une bouffée de rage l'envahit et faisant fit de toute prudence il cracha que "Si jamais vous touchez à un seul de ses cheveux, une conexion vous paraitra la caresse d'un ange comparé à ce que je vous ferais!" avant de racrocher et de laisser tomber son perso près de lui. Sa machoire se crispa sous une nouvelle vague de douleur.
Il fallait absolument qu'il se calme, ce n'était pas dans cet état qu'il serait utile à Kei et au clan.

Shin'itchi frémit en entendant la menace de son interlocuteur. Il resta deux secondes avec le portable en main, interloqué.

Il repris conscience de ce qui se jouait ici, et aida Daisuke à placer Kei sur le billard.

Quand Daisuke posa sa question, Shin'itchi senti quelque chose se serrer dans sa poitrine. Comme mût par sa propre volonté, son bras mecca saisi le chirurgien par le col de la blouse, le souleva bien haut au-dessus de la table et l'approcha à quelques millimètre de son propre visage, lui plantant son regard dans les yeux. Un regard qui avait perdu le peu d'humanité qu'il renfermait.
D'un voix qui glaça l'athmosphère du hangar aussi surement qu'une fuite d'azote liquide, il articula en tre ses dents sérrés :

"Et fait ça du mieux que tu pourra, sans rien de superflu, ni rien de dangereux pour lui ... dans la mesure du possible."

Son bras humain tremblait sous le poids de l'homme qu'il soutenait, bien que le mecca en soutienne la plus grande partie.
Un dernier mot sorti de la bouche de Shin'itchi : "Sinon ..."

Il laissa retomber Daisuke, et se détourna, ouvrant la porte du hangar, et la refermant derrière lui, avant de s'écrouler devant. assis par terre, il s'alluma une cigarette ... la fumée lui monta au cerveau, lui détendant ses nerfs ... ses connections restèrent aussi tendues, mais ça ... rien n'y faisait rien.

Pauvre Keisuke. Lui aussi allait subir ça ...

Jiro eu un choc: quelqu'un venait de sortir de l'entrepot.
Environ l'âge de Kei d'après ce qu'il pouvait voir et possèdant un bras mécanique s'il ce fiait aux reflets du soleil sur membre du jeune homme.

Encore sous le coup de son accès de rage et de la migraine qui lui encerait à présent le crâne, le garde du corps - plus en état de garder quoi que se soit - se leva en s'appuyant au mur contre le quel il était adossé et s'avança en titubant devant le nouvel arrivant qui s'était assit contre la porte du hangar, le surplombant ainsi de toute sa carrure.

"Où est Kei?! "

Le ton ne souffrait aucune protestation. Jiro était blessé et à bout de nerfs certe, mais ne dit-on pas qu'un chien acculé pouvait devenir TRES dangereux?
Et Jiro, en bon chien de garde qu'il était, ne se contenterait certainement pas de montrer les crocs. Il ne mordait que rarement et lorsque ça lui arrivait il ne lachait pas prise!

Il chancelait et dù s'appuyer d'une main à la porte pour ne pas se votrer aux pieds du gamin, qui ne devait finalement pas être beaucoup plus jeune que lui.
Un grondement de douleur lui échapa et il darda un regard haineux sur le meca.

La pensée fugasse comme quoi cette presonne n'avait peut être même pas conscience de se qu'il parlait lui effleura l'esprit mais il la chassa rapidement. Il n'était pas en état d'analyser correctement la situation.

C'était ici que les coordonées du perso de Kei avaient disparuent et ce type sortait du bâtiment, il devait FORCEMENT savoir quelque chose!

Shin'itchi leva vivement les yeux sur l'homme qui se tenait devant lui, écumant de rage ... Il fut tenté de céder à ses nerfs, mais la nicotine l'avait un peu trop calme pour ça, et il pris le temps de se poser quelques questions silencieuses avant de faire quoi que ce soit.

Il tira un grand coup sur sa cigarette, puis se leva sans s'aider de ses bras, la fumée toujours dans la gorge.
Il dévisagea l'homme devant lui, bien plus grand que lui, mais apparemment mal en point contrairement à lui-même, qui a part sa fatigue nerveuse était en pleine forme.

Il tourna la tête sur la droite avant de souffler sa fumée, jeta sa cigarette, puis regarda à nouveau l'homme droit dans les yeux.

Il mit la main dans sa poche et en sorti le portable de Kei, qu'il tendit à l'homme devant lui.

Il banda ses meca-muslces pour bien signifier une chose : si il tentait de l'attaquer, il avait assez de force là-dedans pour démolir une bagnole en quelques coups de poings.
Il s'était toujours hais pour cette particularité de cette prothèse : elle était doté d'un grande force, ce qui demandait une attention de tout les instants pour ne pas broyer les os de quelqu'un ou démolir sa porte avec.

Jiro se saisit du perso que lui tendait le jeune homme à qui il faisait face.
Il ne s'attendait certainement pas à ça!
Toujours appuyé à la porte du hangar il réfléchit quelques instants, pendant lesquels il sentit son vis à vis près à frapper.

L'homme brun vissa son regard dans celui du méca et, faisant un effort surhumain pour afficher une expression froide et détachée malgrès l'élancement qu'il ressentait dans son ventre, le dévisagea.

"C'est peut être moi qui me fait des idées mais tu me paraissait plutot heureux d'avoir quelqu'un de sa famille au téléphone tout à l'heure, alors ne m'agresse pas gamin!
Maintenant tu vas arrèter de me raconter des conneries et me dire ce qu'il c'est vraiment passé.
Et par pitié, calme toi! Tu crois vraiment que je serai venu jusque ici dans l'état dans lequel je suis si je ne tenais pas à Kei?

Une point de douleur plus violente que les autres lui déchira le ventre et le fit se plier en avant et s'apuyer sur le jeune homme.

"Et si tu pouvait m'aider à m'asseoir, ce serai super simpa" souffla Jiro, le souffle court.