A l'abri d'un alcove

La jeune marquise poussa la porte avec précaution , si on la savait là dieu ce qui pourrait bien lui arriver ! Elle avait été conviée à une magnifique et pompeuse réception suivit d'un merveilleux bal donner en l'honneur d'un prince roumain dont le nom lui échappait . Il avait fait l'acquisition il y avait quelques mois de ce somptueux domaine profondement enfoui en pleine forêt . Et la jeune marquise incorrigible et adorable curieuse de 20 ans à peine c'était permise à faire une visite des lieux .
Arkande était une belle créature possédant de magnifiques cheveux couleurs corbeau , des yeux gris aussi pur qu'une pierre précieuse qui faisait la fierté de ses parents qui pensaient lui trouver grâce à sa beauté le meilleur des partis . Ce qui était sans compter le caractère volcanique de la belle .

Elle pénétra donc dans un boudoir somptueux entièrement tapisser de brocare rouge qui lui procura un sentiment de violence mais aussi d'une extrême séduction . Là s'entassait moults ouvrages posés négligement sur une table de travail . Elle caressa les reliures de la main .
"Les Carpates" était un des volumineux livres à présent entamés .
Elle décida de s'assoir un instant à la table afin de découvrir d'avantage les passe temps de son illustre hôte .

un simple roturier entra dans le boudoir, il vit la belle et se dirigea vers elle. Il était un homme d'age jeune, il semblais tous juste sortir de l'enfance, il avait de long cheveux arbun attacher par un ruban de sois bleu roi, il avait une allure de majordhomme. son costume était d'une couleur bleu nuit. le roturier s'inclinat devant la dame par signe de politesse il se décoiffat de son tricorne noir:

-bonsoir votre altesse, le maitre de maison ne devrai point tarder a arrivé, veiller l'excuser pour cette attente désiré vous quelque chose en attendant ?

Arkande se retourna précipitemment comme prise au dépourvue , elle laissa tomber l'ouvrage et s'exclama :

"Pardonnez moi ! Comme je suis malhabile ! Je feuilletait cet ouvrage et j'avoue que je ne vous ai pas entendu entrer ! "

Elle sourit , un peut confuse .

le majordome la dévisagea, il était touché par cet attention de la portée a sa personne par cet ravissante damoiselle de belle facture qui rougissait de confusion:

- ce n'est rien j'aurais du n'annoncé ma venus, ne bougeai point ma bonne damoiselle

il se pencha et ramassa le livre qui était tombé et le tendit a la jeune marquise, le livre a la couverture pourpre et aux pages dorées. se cabra en signe de respect de la marquise devant lui, il avait les yeux tournés vers le sols en signe de soumission, sa natte arbun lui passa sur l'épaule et dans un geste rapide il se redressait:

-patienté un moment je vais querir le maitre de maison. vous êtes ? votre majesté ?

Elle qui n'avait guère vu beaucoup d'homme dans sa jeune existance hormis son grand frère Damon , se sentit troublée par le regard de ce majordome , elle fit cependant bonne contenance et tira une de ses plus belle révérence pour laquelle elle c'était assiduement entraînée .

"Je suis la marquise Arkande de Saint Ange , mon père est le seigneur du comté voisin ! "

-enchanté jeune marquise, mais pas besoin de tant de manière je ne suis qu'un simple roturier point un seigneur.je vais querrir mon maitre patienté encore un peut votre altesse

en faisant une nouvelle révérence, puis il quitta le boudoir et se dirigea dans le couloir. il était vaste est semblé interminable, son plafond était peint entièrement en trompe œil d'ange et de ciel qui donnait une impression de se trouver directement en contacte avec le ciel, les murs avait de grand support de torche en fer forger et des tapisseries d'une incroyable finesse. Melzine avancer dans celui ci d'un pas assurer et précis, il allait chercher son maitre pour la marquise. il finissa par arrivé au bureau de celui-ci il tocas :

-oui
- Melzine maitre puis-je entré ?
-oui bien sur mon brave entre répondit celui-ci

il tourna la poignet et entra:

-sir la marquise Saint- Ange vous demande, elle vous attend au boudoire