Requiem for ... ?

- Merci pour la ballade. T'es un pote toi !

Il descendit de la moto et resta planté, n'osant entrer, attendant qu'on l'invite vraiment ...

Kurtis arriva sur la pas de porte se retourna et vit Bastien attendre sagement.

-Ben allez rentre mec! reste pas dehors!

Puis il rentra allumer la cheminée

Bastien entra à la suite de Kurtis, et ferma la porte derrière lui.

Il était très intimidé. C'était une belle maison, et cela l'étonna de penser que Kurtis pouvait vivre seul dedans. Aucun indice ne permettait à première vue de penser que des adultes vivaient ici. A part si ils avaient une mentalité d'ado ...

Il suivit Kurtis jusqu'à la cheminée, et lui proposa son aide.

Ange marchait dans la rue, la pluie venait d'éteindre sa clope.
Blond, les yeux bleus azur, il portait très bien son nom enfin du point de vue physique seulement.

A à peine 25 ans il avait déja 7ans de prison derrière lui. Et il n'avait eu que si peu par ce qu'il était jeune à l'époque, tout juste 16 ans. L'administration était vraiment bidon! Ange en était sortit avec tout le savoir neccessaire pour devenir un "grand".

Depuis lors il était à la tête d'un réseau de traffic en tout genre et avait à sa botte plusieur petites frappes du coins dont Sonny, nom totalement ridicule soi dit en passant. Ange au moins ça avait la classe!

Le blond entra dans la baraque en tôle qui servait de QG à ces petits merdeux.
Sonny avait l'air de mauvais poil, il gueulait sur un type qui ne savait plus où se mettre.
D'après ce qu'il compris ils avaient des problèmes avec deux types nommés Aslim, ou quelque chose dans le genre, et Kurtis, encore un nom ridicule...
Mais il avait promis en échange de 80% du fric qu'ils gagnaient de leur éviter les emmerdes. En gros il allait encore se coucher tard...

Kurtis se retourna vers Bastien

-Merci mais j'ai fini d'allumer le feu, le canapé est près tu vas pouvoir te reposer, désolé mais le dernier lit , le mien , est squatté par Arlslim

Puis il regarda Bastien avec un sourire

-On vas le réveiller? au passage on réveillera ma soeur!

- Pourquoi pas ... Mais je savais pas que t'avais une soeur ... répondit Bastien avec le même sourire.

il enleva sa veste trempée et lui demandé si il allai pouvoir s'égoutter lui-même sur Arslim au passage.

Arlslim se réveillat en entendant deux voix. Il reconnut celles de kurtis et de Bastien. Il déssidat de les rejoindre au salon.

Puis il courut jusqu'au salon et le soufle cour, demandat, prit d'une de ces questions qui strésse et vous prennent d'un coup: " 'Ya cours demain ? "

-Sa depend si tu y vas ^^

Il pris la veste trempée de Bastien et l'égoutta sur Arlslim

-Hé hé battaille d'eau?

Lorsque Ange rentra dans son appartement il découvrit que la lumière qu'il avait aperçu de la rue provenait de la télévision dont on avait coupé le son. Un sourire tendre se peignit sur le visage du blond. Il coupa le poste et recouvrit d'une couverture la silhouète étendue sur le canapé en lui volant un baiser au passage.



Cela faisait pratiquement quatre heures qu'il pianotait sur son PC portable dernier cris, un model qui ne serait commercialisé que dans quelques années. Ange cherchait des renseignement sur les deux troubles fêtes qui posaient problème à ce crétin de Sonny.


"Tiens, tiens... Ca pourrait servir..."

"De quoi?"

Ange se laissa aller dans les bras qui lui encerclaient les épaules et laissa sa tête se nicher dans le cou du nouvel arrivant.

"Sonny à -encore- des problèmes avec une bande de gosses et je cherche un moyen sûr de me débarasser de ce problème... Et il me semble avoir trouvé quelque chose d'intéressant, regarde là... s'occupe de sa jeune soeur, Frances, depuis la mort tragique de ses parents... Pas mal tu ne trouve pas?

Ange se retourna face à la silhouète qui se détachait à contre jour devant la fenètre, enfin plutôt à contre-lampadaire car le jour n'était pas près de ce lever. Il détailla entièrement l'homme du regard, ses jambes musclées, ses mains grandes et fines, son torse superbement développé et enfin son visage couleur d'ébène où s'épanouissait un grand sourire plein de promesse.

Pas mal en effet... Mais j'ai une meilleure idée... Que dirais tu de laisser cette machine infernale et de prendre du bon temps avec moi?

Ceci dit il s'avança et attira Ange et l'embrassa longuement.

Arlslim manifésta son accord par un mouvement de la tête.

Il s'enfuit alors dans la salle de bain et remplit une bouteille. Il se cachat dans l'ombre de la porte discrétemant (si on n'oublit la trainait d'eau qui allait du lavabot jusqu'où il se cachait).

Soudain une petite voix s'élevat de la chambre de Frances :
- vous osez faire une bataille d'eau en plein milieu de la nuit sans me prévenir

Elle arrivat alors dans la salle de bain avec deux ballon qui en un temps cour furent d'abors remplit puis l'un d'entre eux en voyer sur Arlslim qui avait voulut passé dans le dos de la petite pour l'arroser.

Cellement il y avait le miroir et Arlslim ne vit qu'un projectil jaune s'écraser sur sa figure.

/[HRP]\Frances c'est moi qui la joue Arlslim ^^ mais bon sa vas pour cette fois c'est en accord avec l'histoire/[HRP]\

La bataille d'eau faisait rage, ils étaient tous trempés de la tête au pieds mais rigolaient bien.

-Hé au fait, Arlslim

puis il l'arrosa une dernière fois

-Moi je suis fatigué avoua Frances avant de s'endormir sur le canapé à proximité de Bastien

-Aller, tous le monde au pieux :]

Pendant que tous lem onde commençait à s'endormir Kurtis alla dans la salle de musique et se mis à jouer un petit air de guitare

/[HRP]\Dsl mais je ne voyais pas commen faire autrement pour débuter la bataille/[HRP]\

Arlslim avait les fringues trampées. Au lieu de dormir tranquillement il déssidat d'aller méditer

Bastien avait mit ses fringues à sécher et avait demandé à Kurtis de le dépanner pour la nuit. Ceci fait, il alla s'allonger dans le canapé ... où Frances, la soeur de Kurtis, l'y rejoint ...

Il rougit, mais dans la pénombre cela ne se voyait guère. Il ne voulait pas la serrer de trop près, et en même temps le canapé était étroit pour deux personnes, et si elle avait accepté de s'allonger sur lui, ou même juste de se coller d'elle-même, cela aurait résolu le problème. Mais Bastien n'aurait pas le courage de demander ça à une fille, encore moins un jolie fille, et encore moins la soeur d'un ami.

Il tenta de demander quelque chose, mais ce qui sortit du resembler à ça : "fffaill ... bee .. tu ?"

Il soupira. Si il n'arrivait pas à articuler une phrase simple sujet-varbe-complément dvant une fille comme Frances, comment ferait-il pour avouer sa flamme à Mya ?

Un larme coula sur sa joue pour atterrir sur le T-shirt de Frances.

La larme réveilla Frances...

Celle ci vit Bastien pleurer, elle posa alors sa main sur son visage

-Ne pleure pas, lui dit elle, la vie est faite de haut comme de bas... Quand on a des gens qui tiennent à nous elle devient plus belle. Regarde tu as Kurtis, Arlslim puis...

elle avala sa salive

- ...moi

Puis elle leva la tête avant de l'embrasser...

Bastien souris à Frances tandis qu'elle lui parlait. Et fut surpris de son geste suivant ! Il fut pendant une fraction de seconde estomaqué, eu envie de stopper ce baiser ... et se laissa faire, submergé par cette étrange sensation de bonheur à cet instant.

Il l'embrassa tendrement, sans faire un pas de plus d'abord, puis l'enlaca délicatement. Il tremblait. Il ne comprenait rien, à cet instant, ni du sa vie, ni de ses sentiments, ni des maths, ni de l'histoire : on aurait pu lui faire croire que 2 + 2 était égal à 3, il y aurait crû, à cet instant.

Il ne pouvait plus penser. Il continua à embrasser Frances et à la carresser délicatement, comme si il s'agissait d'un bijoux. Non, il ne comprenait plus rien, mais à cet instant, il s'en foutait royalement !

Ange se réveilla en même temps que le soleil qui s'infiltrait à grand rayons dans la chambre.
Il se leva et alla prendre une douche rapide
Une fois sortit il se dirigea vers "la machine infernale" et s'apprettait à reprendre ces recherches là où il les avaient abandoné cette nuit quand un post-it collé sur une sous-chemise attira son regard.

J'ai imprimé tout ce que j'ai pu trouver sur ton "problème".
Passe une bonne journée mon Ange.

Ange sourit et feuilleta rapidement la trentaine de page que contenait le dossier. Il y avait de nombreux renseignement comme l'adresse des écoles fréquentées par les jeunes, l'adresse de la maison de Kurtis mais aussi des numéro de comptes, des relevés banquaire et d'autres chose oh combien utiles.

Il enfourna le dossier dans son sac, attrapa une veste et sortit... Pour revenir 5 secondes plus tard attraper un post-it et griffoner un mot à l'intention de K qu'il colla sur le frigo avant de resortir déffinitivement.
Il avait décider d'aller rendre visite à ces petits merdeux.

Une petite heure plus tard Ange se tenait devant une petite maison de banlieu, impécable dans son costume crème, une malette en acier à la main.
Du revert de la main il lissa un plit de sa veste et sonna.

Bastien se révailla au petit matin, quelques courtes heures de sommeil dans les paupières. Le soleil ne faisait que colorer doucement le ciel de lueurs bleutées.

Il regarda Francès recroquevillée au creux de ses bras, et son coeur fit un bon dans sa poitrine en voyant le sourire de bien-être qui s'affichait sur son visage. Il sourit à son tour. Il déposa un baiser sur son front, puis très lentement, il s'extirpa de son étreinte, prenant grand soin à ne pas la réveiller. Il glissa un grande peluche à sa place.

Il alla boire un grand verre d'eau dans la cuisine, et sortit devant la maison. Malgré la saison, quelques fleurs était encore très fraiches. Il cueillit une belle rose rouge sang, encore couverte de rosée, puis rentra.

Un petit mot écrit en vitesse, mais romantique à souhait (il le trouvait en tout cas), vint s'enrouler autour de la tige, qu'il glissa dans la bouche de la peluche, avant de déposer un dernier baiser sur la joue de la jeune fille.


"Je reviendrais sans doute plus tard. Termine ta nuit par de beaux rêves, princesse" pensa-t-il.

Puis il partit, sans un bruit. Il entendait encore les sons de la guitare de Kurtis, étouffés par l'insonorisation de la salle où il jouait. Le cinglé avait fait nuit blanche. Il referma la porte puis marcha, sans but précis. Il n'avait qu'une envie, marcher.

Un petit tic d'agassement agittait la lèvre du jeune homme blond.

Ange souffla et raffermi sa prise sur la poignée de la malette.
Qu'est ce que pouvaient bien foutre ces gosses? Voilà plus de 15 minutes qu'il attendait devant cette fichu porte, dans ce fichu lotissement de petite banlieue huppée!

Pas que la patience ne soit pas sont fort mais il avait prit l'habitude -mauvaise, selon K- d'obtenir CE qu'il voulait QUAND il le souhaitait.
Et il commençait à en avoir marre d'attendre.

Le blond habillé du costume crème sonna de nouveau, de manière plus soutenue cette fois.

Il n'était pas dit qu'une bande de mômes mal élevés lui ferai perdre sa patience!

shinji était un jeune adolescent de taille moyenne et de poid correcte. Il était originaire de Tokyo et il était venus en france pour suivre ses études et se familliarisé avec la langue français alors qu'il étudiait. Il était arrivé que réçament en France et déja il était inscrit dans un lycée et dés le premiers jours épuiser par le décalage horaire il se réveilla a la bour et n'eu pasle temps de se coiffer, de prendre son petit déjeuner. il s'habilla a la hâte et sauta sur son vélos il pédala a s'en déccrocher les jambres et arriva juste a la sonnerie. La encore il cavalé pour se rendre au bureau du cpe pour confirmer son inscription pour pouvoir commencer en même temps que les autres c'est cour. Il stressait facielement même pour un rien, dans son élan il bouscula sans le faire exprés deux jeunes qui l'interpéllèrent

- Ola bouffeur de riz, regarde ou tu vas minable
- désoler...
- ou court tu ainsi comme ça? et mais t'es un newbi tu connais les loi de ce bahut tu me bouscule tu paye ou je te déboite ta jolie face d'asiate
- je ne comprand pas mais je... en retard

il fila en courant il bouscula sans le vouloir une autre personne

Les pas de Bastien le menèrent jusqu'au lycée ... il y était arrivé sans s'en rendre compte. Et il ne comptait pas vraiment y revenir.

Il se demanda si il réussirait à s'en sortir sans diplômes ..; après tout, il y avait des gens qui s'en sortaient ... et d'autre qui mourraient de froid dans la rue en hiver après quelques années à dépérir sous le nom de "clochard" et rien d'autre ...

Il s'assit contre un arbre, face aux grilles. Aucun surveillant en vue, rien qui risquait de faire mal. Il commençait à se demander si quelqu'un s'inquiétait de son absence, autant au lycée que chez lui.

Il s'alluma une cigarette, exhalant la fumée dont les volutes étaient aussitôt dispersées par la petite brise.